DURAS et la Citadelle de BLAYE
Week-end du 12 & 13 septembre 2015
14 équipages se sont retrouvés au départ de Toulouse en direction de Duras. Ce samedi matin le ciel s’assombrissait et nous redoutions la pluie qui bien présente en fin de matinée ne nous a pas empêché de visiter le château de Duras. Initialement érigé au XIIe siècle, le château est transformé au XIVe siècle en une forteresse grâce au soutien du pape Clément V. Lors de la guerre de Cent Ans (1337-1453) le château est entre les mains de la famille de Durfort. Duras est érigé à la fin du XVIIe siècle en duché. Partiellement détruit et pillé à la Révolution, il est finalement « reconquis » par les habitants de la ville à la fin des années 1960 lors d’une vente aux enchères. Il est aujourd’hui un fleuron du patrimoine culturel aquitain.
A 13h nous nous retrouvons pour déjeuner à l’hostellerie des Ducs suivi d’une promenade digestive dans le jardin des vignes de la Maison des Vignerons à Duras en présence du soleil. Nous reprenons la route en direction de la Citadelle de Blaye à travers les vignes, châteaux et vins prestigieux.
Arrivée à 19h dans l’imposante Citadelle de BLAYE, fortification du réseau VAUBAN inscrite au Patrimoine Mondial de l’UNESCO pour notre soirée étape face à l’estuaire de la Gironde (le plus important estuaire d’Europe), merveilleux panoramas avec un coucher de soleil sublime.
Dimanche matin visite de la Citadelle. Nous reprenons nos véhicules en direction du château de TAYAC, face au confluent de la Dordogne et de la Garonne, le Château TAYAC jouit d’un panorama inégalé sur l’estuaire de la Gironde. Il bénéficie ainsi d’un microclimat et produit les vins « Côtes de Bourg ». Visite des vignobles suivie d’une dégustation. http://www.chateau-tayac.fr/
Nous nous sommes retrouvés à 13h pour le déjeuner au restaurant du Port au BOURG. Le club, dans sa générosité habituelle, a offert à chacun des convives une dégustation d’huîtres. Puis nous avons repris la route via Toulouse aux environs de 17h. Fin de notre sortie.
Merci à Didier pour les photos. Francine Debiais