Le Mans Classic 2016
11 équipages se sont rassemblés vendredi matin sur le parking de l’autoroute de Montauban Nord pour participer à la 8ème édition du Mans Classic les 7, 8 et 9 Juillet 2016.
Le départ est donné, arrêt pour notre déjeuner à Limoges et ravitaillement de nos jaguars. RDV pris le soir chez nos hôtes à Changé pour le repas Sarthois. Nous sommes tous un peu las de par les km parcourus et la chaleur.
Samedi matin RDV est donné sur le circuit dès 7 h 30 pour ceux qui font des tours de piste. Le parking du club nous attendait, il y avait suffisamment de place pour garer les véhicules et se retrouver avec les autres clubs de la marque Jaguar. En effet l’évènement essentiel de ce Le Mans Classic 2016 était « le Jaguar Classic Challenge » avec un plateau incroyable de voitures de course historiques MK1, MK2, Type C, Type D, XK120, XK140, XKSS et les premières type E représentant 58 bolides qui ont su nous faire partager une compétition endiablée.
Toujours autant de succès pour le Little Big Mans « course pour les enfants » des débutants de six ans, des vétérans de dix ans, des pilotes qui pourront plus tard dire « j’y étais au Mans classic ».
A noter que la vente aux enchères d’une FERRARI 250 GT Berlinetta SWB châssis court, du salon de Paris de 1961 s’est envolée pour 7,6 millions d’euros…
La journée s’est terminée au restaurant « Le jardin gourmand » à Bener Le Mans dans un cadre champêtre fortement apprécié.
Dimanche matin retour sur le circuit pour parcourir les paddocks, les boutiques et admirer les différents stands de Ferrari, Porsche, Morgan, Aston Martin, Lotus, Ford GT et multimarques… sans oublier un détour aux tribunes pour regarder une dernière fois les voitures des différents plateaux.
18 h fin des festivités. Nous quittons le circuit pour une longue file d’attente avant de regagner à 19 h le restaurant le Cheval Blanc à Changé pour être devant le grand écran à 21 h afin de regarder la finale de l’Euro. La France a perdu, le Portugal a gagné, c’est ça le sport il y a toujours un gagnant et un perdant. Francine Debiais